Vendredi 17 juin à l’Atelier (91 rue montesquieu, lyon 7e), une fête de soutien pour deux colleurs d’affiches arrêtés en Avril et qui doivent à présent trouver 380 euros...
Un concert, une bouffe, une tombola...
Migrations / Sans-papiers
Contre toutes les prisons !
Révolte dans la nuit du 18 au 19 mai au centre de rétention de Turin. Traduction par un membre du collectif Solidarité Prisonniers de Valence.
Etudiants français, étudiants étrangers, égalité des droits !
Appel du Collectif de soutien aux étudiants étrangers à un rassemblement mercredi 11 mai à 17h30 devant la Préfecture, 11 rue Dunoir.
Lyon ville frontière...
À Lyon, pour notre plus grand bonheur, il n’y a pas (encore) de douaniers qui pullulent dans la rue. Les frontières ne sont pas pour autant absentes du panorama lyonnais... Les frontières ne sont pas visibles mais peuvent être matérialisables avec, par exemple, les patrouilles de police qui traquent les populations « originaires » des pays de l’est, du Maghreb,... pour leur rappeler qu’ils et elles ne sont pas à la place où l’État voudrait les assigner.
Derrière ces uniformes se cache (...)
La campagne contre les centres de rétention ? ça continue !...
À l’aéroport St Exupéry, il y a un centre de rétention administrative (CRA), rouage indispensable de la machine à expulser où les indésiré-es sont stocké-es pour désormais 32 jours. En passant de 12 à 32 jours, l’augmentation de la durée en centre de rétention implique tout un programme d’agrandissement et de construction de locaux. Au niveau national, il y a actuellement 715 places en centre de rétention administrative (CRA) - il y en aura 230 de plus en 2004 et 600 en 2006 (si l’on n’y (...)
L’OMI n’est pas notre ami
Les centres de rétention administrative (CRA) constituent un rouage essentiel du dispositif d’expulsion des personnes étrangères en situation irrégulière. Pour autant, les politiques migratoires instaurées au niveau de l’espace Schengen ne se résument pas seulement à la mise en place d’une machine à expulser : elles ont pour première conséquence de condamner les populations migrantes à la clandestinité, c’est à dire de les soumettre à un contrôle policier et à une exploitation économique (...)
Nulle part c’est près de chez nous
Dimanche 25 avril 2004.
Par une belle matinée ensoleillée nous sortons du centre de rétention de Satolas où nous avons rendu visite à une camarade sénégalaise embastillée avec ses deux enfants de 4 et 6 ans, d’ailleurs nés sur le sol français (la présence d’enfants au centre de rétention est de plus en plus fréquente).
Nous rencontrons alors monsieur XYZ, assis avec sa valise sur la pelouse coincée entre les barbelés du centre de rétention et l’autoroute. Image irréelle... Monsieur XYZ (...)
Rétention : GFC complice
C’est donc GFC construction (« des défis à relever »), filiale de Bouygues, qui s’est vue attribuer, le 22 mars 2004, le marché concernant la rénovation et l’aggrandissement du centre de rétention administrative de Lyon-St Exupéry (B.O.A.M.P 15 A, annonce n° 196, parution du 27 janvier 2004) - dont la capacité « d’accueil » doit donc passer d’environ 70 personnes retenues (ne sont jamais comptées par les autorités les mineur-e-s, de plus en plus nombreux-euses, pour qui on ajoute (...)
Pop’potins
Le 17 avril, dans le cadre d’une journée de mobilisation contre les centres de rétention, quelques personnes certainement peu recommandable ont décidé d’aller voir comment le soleil se levait au-dessus du centre de rétention administratif de Lyon-St Exupéry (désigné par la suite par le doux nom de « CRA »). Au passage, sur les ponts surplombant des accès autoroutiers à l’aéroport et donc, au CRA, trois banderoles ont été accrochées : « ici comme ailleurs, non aux centres de rétention », « (...)
Petites annonces - brèves
Le 31 janvier dernier, le CLAG (collectif lyonnais après-Gênes) et poudre d’escampette (collectif contre les centres de rétention) ont coorganisé, à Lyon, la journée européenne contre les centres de rétention et de soutien aux sans-papiers. Le contexte était particulier : depuis quelques temps rien n’avait été fait autour de la question des sans-papiers, le mouvement s’étant mit en veilleuse à cause de conflits internes. Divers événements se sont déroulés ce jour : la BAC (brigade (...)
Quelques bonnes raisons de se lancer dans une campagne nationale contre la construction et la rénovation des centres de rétention
Empêcher la construction de nouvelles places de rétention est un biais concret pour lutter contre la mise en place du projet de loi Sarkozy sur l’immigration.
L’augmentation des places en rétention et en zone d’attente est la condition nécessaire à l’applicabilité du projet Sarkozy dont une des mesures vise à prolonger le temps de rétention. Le plan de construction et de rénovation (préparé par la gauche sous couvert d’amélioration des conditions de rétention dans le rapport Mermaz) qui (...)
Après la Corse, bientôt une nouvelle résidence secondaire pour M. Sarkozy en région lyonnaise
Au niveau national, il y a actuellement 715 places en centre de rétention administrative (CRA) - il y en aura 230 de plus en 2004 et 600 en 2006 (si l’on n’y fait rien...).
À l’échelle de la région lyonnaise, le CRA de l’aéroport St-Exupéry verra ses capacités « d’accueil » doublées d’ici 2004 (de 52 actuellement à 104), soit près d’un quart des places supplémentaires prévues en CRA d’ici 2004.
Ces mesures concrètes s’inscrivent dans le cadre plus large du durcissement des politiques (...)
Maux de la fin
Les deux mouvements de grève de la faim engagés par plus d’une trentaine de sans-papier et demandeurs d’asile, courant mars, à Lyon, ont été interrompus au mois de mai.
Après 80 jours de jeûn, presque sans soutien, les 6 Algériens en lutte rue Cavenne « pour leur régularisation, pour travailler et vivre librement » n’ont obtenu au final que des récipicés de trois mois sans droit au travail, le temps d’un réexamen des dossiers. En cas de nouveaux refus se sera le retour forcé vers (...)
France, pays des droits des Roms ?
On a pu s’apercevoir, ces derniers mois, que les Roms commençaient de plus en plus à s’organiser pour répondre aux dernières agressions des institutions. Le gouvernement n’est pas en reste pour tout ce qui touche à la lutte contre les précaires. Il a habilement prévu dans le cadre de la Loi sur la Sécurité Intérieure (LSI votée en février 2003) un article qui accroît la précarisation des Roms (suspension du permis de conduire jusqu’à 3 ans ou confiscation du véhicule ayant servit à (...)
La grève de la faim : action en dernier recours...
En 2001 et 2002, pendant près d’un an et pour la première fois à Lyon, une centaine de sans papier se sont organiséEs collectivement en vue d’obtenir leur régularisation et pour faire valoir leur droit à vivre dignement.
D’occupations en expulsions, du Quai Sarrail à l’Hôtel de Nice, ce mouvement rassemblant des personnes en situation irrégulière et des soutiens « en règle » s’est peu à peu épuisé, jusqu’à l’évacuation violente du Musée de la Résistance à l’été 2002. depuis : plus grand (...)
Grève sans faim
Le 5 janvier 2003, 12 sans-papier ont entamé une grève de la faim qui s’est poursuivie jusqu’au 3 mars. Soit plus de 60 jours de grève. La plupart des personnes (9 hommes et 2 femmes) étaient débouté-es du droit d’asile politique.
Plusieurs actions ont émaillé le cours de ces longs jours, notamment l’occupation des locaux de l’U.M.P. Commencé à 12, il n’étaient plus que 11 à l’issue d’une grève épuisante. L’ensemble des personnes ont obtenus un titre de séjour n’excédant pas 6 mois. (...)
Agenda du passé
« Oh non monsieur je suis pas en colère, c’est juste que hors de moi y a l’air de faire soleil » - R. Desjardin.
Sans-papier, demandeuses et demandeurs d’asile, sans droit
Le 4 mars, après 60 jours de grève de la faim, les 11 sans papier qui occupaient les locaux de l’association Diver Cité ont mis fin à leur action. Au prix pour certainEs de séquelles physiques graves, les grévistes ont obtenu de la Préfecture les engagements suivants : une régularisation au titre du regroupement (...)
Faits et méfaits
Soutien aux grévistes de la faim
Le samedi 1er mars, les 11 sans-papiers-ères qui avaient commencé une grève de la faim le 4 janvier -il y a 57 jours- pour obtenir leur régularisation ont convoqué à nouveau un rassemblement à 14 h devant l’assoc DiverCité (où ils-elles logent actuellement) située au n° 8 de la rue Fournet (6è). Une quarantaine de personnes (selon des sources sûres !) y ont assisté et ont bloqué le tramway à la Part-Dieu pendant 20 minutes pour protester contre (...)
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